Il est tôt, il fait beau, les sangliers sont au chaud
Lundi 13 avril 2009, lundi de Pâques.
Il est 5.30 heures. Le café est chaud. Les yeux sont encore lourds de fatigue. Mais Petit Bonhomme (10 ans) et Petit Bouchon (11 ans) sont motivés et fins prêts pour la grande aventure. Il est temps de partir: le soleil se lève à 6.52 heures ce matin.
Entre Viville et Metzert, les sous-bois sont encore sombres, presque noirs. Pas besoin de lampe de poche, cependant. Le Beynert est silencieux. Vers 6.30 heures, on installe notre poste d'observation. Le ciel s'éclaircit. La photo suivante a été prise à précisément 6.50 heures, soit 2 minutes avant que le soleil nous salue.
... mais rien ne se passe. Où sont ils donc tous passé? Vers 7 heures, nous décidons de bouger. On se lève lentement et... surprise! À moins de 15 mètres, un énorme sanglier solitaire nous fixe. Un très court instant, on voit à sa tête (ou plutôt à sa hure) qu'il est aussi surpris que nous. Il détale.
La lumière et sa vitesse nous ont empêché de fixer l'image... partie remise?
Nous décidons de quitter la forêt. Deux biches furtives nous regardent au loin. Les fleurs, elles se laissent surprendre sans bouger.
Heureusement, nous sommes salués par un accenteur mouchet, déjà très actif. Il faut diore que toute la promenade a été ponctuée par des milliers de chants d'oiseaux.
... il est temps de rentrer pour un bon petit déjeuner. Allez, à bientôt!
Il est 5.30 heures. Le café est chaud. Les yeux sont encore lourds de fatigue. Mais Petit Bonhomme (10 ans) et Petit Bouchon (11 ans) sont motivés et fins prêts pour la grande aventure. Il est temps de partir: le soleil se lève à 6.52 heures ce matin.
Entre Viville et Metzert, les sous-bois sont encore sombres, presque noirs. Pas besoin de lampe de poche, cependant. Le Beynert est silencieux. Vers 6.30 heures, on installe notre poste d'observation. Le ciel s'éclaircit. La photo suivante a été prise à précisément 6.50 heures, soit 2 minutes avant que le soleil nous salue.
... mais rien ne se passe. Où sont ils donc tous passé? Vers 7 heures, nous décidons de bouger. On se lève lentement et... surprise! À moins de 15 mètres, un énorme sanglier solitaire nous fixe. Un très court instant, on voit à sa tête (ou plutôt à sa hure) qu'il est aussi surpris que nous. Il détale.
La lumière et sa vitesse nous ont empêché de fixer l'image... partie remise?
Nous décidons de quitter la forêt. Deux biches furtives nous regardent au loin. Les fleurs, elles se laissent surprendre sans bouger.
Heureusement, nous sommes salués par un accenteur mouchet, déjà très actif. Il faut diore que toute la promenade a été ponctuée par des milliers de chants d'oiseaux.
... il est temps de rentrer pour un bon petit déjeuner. Allez, à bientôt!
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