Crépuscule magique dans la forêt d'Anlier
Ce mardi soir, nous sommes "hyper-motivés" à l'idée de capturer quelques images de la nature en fête... la surprise est au rendez-vous (comme d'habitude). D'abord, la forêt, le soir, est très différente: elle est calme, et les bruits sont comme amplifiés. Mais notre première rencontre est plutôt silencieuse...
... un orvet! Regardez sa bouille, s'il est pas mignon!
Puis, on continue vers la vallée de la Rulles, au bout des étangs de la Fabrique (à Habay-La-Neuve). Nous remontons le cours de la Rulles dans un paysage magique qui a certainement inspiré les fées et autres esprits des forêts:
Et puis c'est le moment. Dans une côte, à une trentaine de mètres de la rivière, nous entendons un bruit de branchages écrasés. Nous nous arrêtons et nous mettons à l'affût. Le bruit continue, il est accompagné de grognements sonores. Pas de doute: c'est un sanglier mâle solitaire. Nous retenons notre souffle...
... et tout à coup, c'est la fuite. Dans un grognement à faire dresser le cheveux sur la tête, la bête s'enfuit (heureusement dans la direction opposée à la nôtre). Désolé, chers amis, mais nous n'avons pas vu sa trogne! Peut-être une prochaine fois arriverons-nous à le mettre en boîte? Toujours est-il que biens fatigués par les émotions (et les 8 kilomètres), nous quittons la forêt à regret. C'est qu'on y resterait bien la nuit, pour ressentir des émotions inoubliables... mais nous devons penser à nos marcassins!
A propos, il nous reste encore 4 jours avant de récupérer notre marcassin-petite-puce. Patience!
... un orvet! Regardez sa bouille, s'il est pas mignon!
Puis, on continue vers la vallée de la Rulles, au bout des étangs de la Fabrique (à Habay-La-Neuve). Nous remontons le cours de la Rulles dans un paysage magique qui a certainement inspiré les fées et autres esprits des forêts:
Et puis c'est le moment. Dans une côte, à une trentaine de mètres de la rivière, nous entendons un bruit de branchages écrasés. Nous nous arrêtons et nous mettons à l'affût. Le bruit continue, il est accompagné de grognements sonores. Pas de doute: c'est un sanglier mâle solitaire. Nous retenons notre souffle...
... et tout à coup, c'est la fuite. Dans un grognement à faire dresser le cheveux sur la tête, la bête s'enfuit (heureusement dans la direction opposée à la nôtre). Désolé, chers amis, mais nous n'avons pas vu sa trogne! Peut-être une prochaine fois arriverons-nous à le mettre en boîte? Toujours est-il que biens fatigués par les émotions (et les 8 kilomètres), nous quittons la forêt à regret. C'est qu'on y resterait bien la nuit, pour ressentir des émotions inoubliables... mais nous devons penser à nos marcassins!
A propos, il nous reste encore 4 jours avant de récupérer notre marcassin-petite-puce. Patience!
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