Expériences magiques pour une Petite Puce
Qu'il est difficile de résumer une expérience quand on a 8 ans! Visiblement, à cet âge-là, tout est beau, magique, parfait... Ainsi, quand la question "quel est ton meilleur souvenir" survient, la réponse est invariablement: "j'en ai pas, tout était chouette". Morceaux choisis...
Nous avons tourné deux jours autour du village des Bouchoux, qui rappelait quelques souvenirs postaux à Maman Sanglier (blague privée, désolé). Ce petit village, très typique, résumait à lui seul toute la randonnée. Notamment, nous nous souviendrons de cette petite épicerie qui nous a ravitaillé de justesse avant sa fermeture... c'était le seul point de ravitaillement alentours (càd à deux jours de marche). Merci Tine de nous avoir sauvés!
Les chamois sont nos amis... près du bivouac à la tombée de la nuit, ils nous observent un peu surpris.
Ahhh, le calme avant la tempête (de pluie) au crépuscule. Cette nuit-là, les tentes ont transpercé, mouillant au passage sacs de couchage et pyjamas. Qui a dit que ce serait une sinécure? Devinez qui ne s'est pas réveillée malgré le chahut alentours?
Ah, Seraffin! L'est du matin, celui là, parce que l'après-midi, il fait sa petite tête de bourrique! Mais bon, il a été sympa quand même, de porter une partie de notre barda! Même pas peur, à huit ans, on est bien assez grand pour maîtriser l'animal!
Et puis quoi? Les fleurs aussi, qui se logent dans des endroits qui inspirent l'artiste (qui y voit un jardin japonais façonné par la nature).
Bon, ce que j'en dis, moi, c'est qu'à 8 ans, s'envoyer 100 km dans les (petites) jambes, c'est un sacré exploit! Et que je suis fier de ma petit puce!
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-- Les Bouchoux, un vrai village de conte de fées. --
Nous avons tourné deux jours autour du village des Bouchoux, qui rappelait quelques souvenirs postaux à Maman Sanglier (blague privée, désolé). Ce petit village, très typique, résumait à lui seul toute la randonnée. Notamment, nous nous souviendrons de cette petite épicerie qui nous a ravitaillé de justesse avant sa fermeture... c'était le seul point de ravitaillement alentours (càd à deux jours de marche). Merci Tine de nous avoir sauvés!
Les chamois sont nos amis... près du bivouac à la tombée de la nuit, ils nous observent un peu surpris.
Ahhh, le calme avant la tempête (de pluie) au crépuscule. Cette nuit-là, les tentes ont transpercé, mouillant au passage sacs de couchage et pyjamas. Qui a dit que ce serait une sinécure? Devinez qui ne s'est pas réveillée malgré le chahut alentours?
Ah, Seraffin! L'est du matin, celui là, parce que l'après-midi, il fait sa petite tête de bourrique! Mais bon, il a été sympa quand même, de porter une partie de notre barda! Même pas peur, à huit ans, on est bien assez grand pour maîtriser l'animal!
Et puis quoi? Les fleurs aussi, qui se logent dans des endroits qui inspirent l'artiste (qui y voit un jardin japonais façonné par la nature).
Bon, ce que j'en dis, moi, c'est qu'à 8 ans, s'envoyer 100 km dans les (petites) jambes, c'est un sacré exploit! Et que je suis fier de ma petit puce!
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